Guo Songfen

Guo Songfen 郭松棻 , né à Taipei en 1938 et décédé à New York en juillet 2005, est un écrivain taïwanais qui, en raison de ses convictions politiques, a été contraint de s'exiler[1],[2]. Une de ses nouvelles a été publiée aux éditions Zulma, Le récit de lune (2007), trad. Marie Laureillard. Deux autres nouvelles ont été publiées depuis (trad. Marie Laureillard), « La mère qui fuyait » et « Cris sous la lune » (la première dans Isabelle Rabut et Angel Pino (dir.), Le cheval à trois jambes, anthologie de nouvelles taïwanaises, Paris : You-Feng, 2016, p. 227-258 et la seconde dans la revue Jentayu n°6, « Amours et sensualités », ).

Guo Songfen
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Biographie
Naissance
Décès
(à 66 ans)
New York
Nationalité
Formation
Affiliated Senior High School of National Taiwan Normal University (en)
Université de Californie à Berkeley
Activité
Père
Kuo Hsueh-Hu (en)
Mère
Lin A-chin (d)
Conjoint
Yu Li (d)

Notes et références
  1. (fr) « Guo Songfen » sur le site des Éditions Zulma
  2. Bertrand Mialaret, « Guo Songfen », Jentayu,‎ (ISSN 2426-2536, lire en ligne)

Liens externes
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