Cheissoux
Cheissoux (Chaisson la Chapèla en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Cheissoux | |||||
![]() L'église de la Nativité-de la-Vierge. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Limoges | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Portes de Vassivière | ||||
Maire Mandat |
Vincent ECHASSERIEAU 2020-2026 |
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Code postal | 87460 | ||||
Code commune | 87043 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cheissounauds | ||||
Population municipale |
221 hab. (2021 ![]() |
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Densité | 22 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 50′ 03″ nord, 1° 38′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 334 m Max. 548 m |
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Superficie | 10,21 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Limoges (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Eymoutiers | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | cheissoux.fr | ||||
Ses habitants s'appellent les Cheissounauds et les Cheissounaudes[1].
Géographie
Localisation
La commune est limitrophe du département de la Creuse.

Communes limitrophes
Traits physiques
La commune de Cheissoux (1 021 ha) a un relief de plateau, au sous-sol formé de roches métamorphiques. Ce plateau n'est pas « vraiment » plat, comme en donne pourtant l'impression la route qui traverse la commune, qui est la partie la plus occidentale du plateau de Millevaches. Le territoire communal est ainsi fait d'une vaste partie centrale, entre 430 et 460 m d'altitude : le plateau est parsemé de petites collines, et fortement entaillé à l'est par le vallon du ruisseau de Cheissoux. Au nord-est au contraire, le relief s'élève au-dessus de 500 m : le point culminant est à 547 m. Les monts d'Auriat, ici le versant sud, sont un véritable château d'eau. On trouve ainsi quelques cours d'eau, dont le plus important – le « ruisseau de Cheissoux »- limite la commune à l'est. La présence de l'eau est plus spectaculaire encore avec les nombreuses sources, dont l'importance est perceptible dans la toponymie (voir article spécifique). Les paysages, très verdoyants, alternent bois, prairies et champs. On est ici au « pays de l'arbre et de l'eau ». Les résineux dominent la partie nord, montueuse et accidentée. Peu de champs aujourd'hui, les sols étant pauvres. Le climat est un dégradé du milieu atlantique, avec déjà des nuances de pré-montagne : relativement rude l'hiver (moyenne de janvier : 0 °) et très humide (environ 1 100 à 1 200 mm de pluies annuelles). L'évolution climatique va vers un type plus doux (étés autour de 22° en moyenne) et plus sec et une réduction notable du nombre de jours avec chutes de neige (en moyenne : 12 à 16)[2],[3].
Climat
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 171 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Eymoutiers à 12,76 km à vol d'oiseau[7], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 170,3 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
Typologie
Cheissoux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,1 %), prairies (32,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %), eaux continentales[Note 3] (0,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs
Le territoire de la commune de Cheissoux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].
Risques naturels

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. 12,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[20].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[17].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval du barrage de Vassivière, un ouvrage de classe A[Note 5] situé dans le département de la Creuse, sur la Maulde. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[22].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Cheissoux est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].
Toponymie
Encore nommée usuellement Cheissoux-la-Chapelle au début du XXe siècle[24].
Histoire
L'occupation humaine de la commune est très ancienne, comme l'atteste la petite église romane. Le site municipal donne tous les détails marquants d'une histoire simple mais séculaire. Voir aussi les splendides photos et le très "pointu" article sur la toponymie, où est détaillée l'origine de chaque nom de lieu (48 au total)[25].
On connaît peu de textes pour la période médiévale si ce n'est une donation (1130) : les terres et l'église étaient données par le prieur d'Aureil à celui de Saint Léonard. L'existence d'une paroisse est attestée en 1318. Ensuite, elle fut alternativement intégrée soit dans celle de Bujaleuf (v. 1558), puis de Champnètery [Pierre de Bruxelles, curé en 1780], et à nouveau de Bujaleuf, devenue commune (1825). Elle redevient une commune autonome en 1869.
Par contre, avec l'apparition des registres paroissiaux (fin XVIIe siècle), on peut voir se développer une micro-société assez banale, dans le cadre de paroisses successives. Curieusement, on trouve un certain nombre de mariages avec des habitants de Royère-en-Poitou (aujourd'hui Royère-de-Vassivière), en amont, et Saint Léonard (aujourd'hui Saint-Léonard-de-Noblat), en aval. Il semble que Cheissoux ait été une étape importante sur la route des "maçons creusois" vers l'Angoumois et l'Aquitaine.
La fin du XIXe siècle voit la création de deux écoles, non mixtes. En 1896, il y avait 136 élèves (66 garçons, 70 filles). J.Dubois donne la liste des instituteurs, dont le couple Chapoulaud en 1888.
Comme partout, la guerre de 1914-1918 fut très meurtrière : 25 noms figurent sur le monument aux morts dédié "à nos enfants victimes de la guerre". Tous ces "poilus" étaient des 2e classe. Le plus jeune avait 20 ans, le plus âgé 39. L'un est même mort après l'armistice, en captivité, le 12 décembre 1918. Pour 10 d'entre eux, on n'a pas retrouvé leurs corps. Ils ont été déclarés décédés par décision de justice. [sources : association "Patrimonia"]
Les Hospitaliers
Village de Villetelle, au sud-ouest, il a appartenu aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de la commanderie de Charrières et du grand prieuré d'Auvergne[26].
Blasonnement
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Les armoiries[27] de Cheissoux se blasonnent ainsi : |
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1906. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2021, la commune comptait 221 habitants[Note 6], en augmentation de 22,1 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Lieux et monuments
Église de la Nativité-de la-Vierge de Cheissoux
- Église de la Nativité-de la-Vierge, du XIIIe siècle et sa croix monumentale[34]. Un panneau explicatif est visible à l'entrée à droite. Simple et clair, on découvre l'essentiel. La restauration des fresques murales a mis en valeur des œuvres sobres, et surtout d'une grande beauté. Pas besoin d'être croyant pour apprécier [photos dans le site internet de la mairie]
- Le Puy des Roches, hauteur surmontée d'un énorme bloc granitique[25]. Un circuit pédestre passe à proximité.
- Le monument aux morts[35] : Érigé en bas du bourg, près de l'église, il ne présente a priori pas de caractéristiques remarquables. Il ressemble à la grande majorité des monuments limousins. Sur un grand bloc de granite, en forme d'obélisque, sont gravés 25 noms de soldats « morts pour la France » (selon la terminologie officielle). Seule figure l'initiale du prénom. On y trouve deux décors assez banals : un rameau avec feuilles de palmes et deux « croix de guerre ». En observant plus attentivement, on peut s'apercevoir que quelques feuilles de chêne ont été ajoutées; il s'agit d'une marque identitaire assez originale (pas de trace ailleurs dans le canton, et même au-delà sur le Plateau de Millevaches). Les distinctions militaires sont une concession à un modèle assez classique, et ne veulent pas signifier un quelconque militarisme. Aucun casque, aucune arme, encore moins de représentation d'un soldat en pied. Par contre, l'inscription est plus originale. Elle apporte une nette connotation pacifiste, comme nombre de monuments dans l'est de la Haute-Vienne : « La commune de Cheissoux à ses enfants victimes de la guerre ». C'est bien le mot « victime» qui est ici important. Les élus des années 1920 ont décidé de souligner le sacrifice plutôt que l'héroïsme. On conviendra que cette nuance n'est pas très apparente, l'ensemble du monument, sans référence religieuse, se voulant avant tout consensuel.
Personnalités liées à la commune
- Georges Guingouin (1913-2005), personnage (héros) de la Résistance française. « Lo grand » n'a pas de rapport direct avec la commune, mis à part le fait qu'il y avait des amis pour l'hébergement durant les plus durs moments de la lutte contre l'envahisseur nazi. Par contre, le chef du maquis eut à prendre une décision lourde de conséquences. Le capitaine Kampf, SS de la division Das Reich, capturé le 9 juin 1944, à La Bussière (commune de St Léonard de Noblat) fut ensuite amené et « planqué » à Cheissoux [ferme de La Combe]. Cet officier important aurait pu être une monnaie d'échange capitale. Mais le 10 juin, ses « collègues » perpétraient l'effroyable massacre d'Oradour-sur-Glane. L'apprenant, Georges Guingouin donna l'ordre d'exécuter l'officier allemand. On n'a jamais retrouvé son corps, même si une pierre tombale lui est consacrée dans un cimetière militaire en Charente.
Pour approfondir
Bibliographie
- Joseph Dubois : le canton d'Eymoutiers (1900, réédité en 1996).
- notes de l'association culturelle "Patrimonia" [M.Patinaud].
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
- « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
- Atlas agroclimatique du Limousin (Météo-France)
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Cheissoux et Eymoutiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Eymoutiers » (commune d'Eymoutiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Eymoutiers » (commune d'Eymoutiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Cheissoux », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- selon l'ouvrage de Françoise Myrh
- site officiel de la mairie de Cheissoux
- Marie-Claire Pontier, Archives départementales de la Haute-Vienne : Fonds des commanderies de l'ordre de Malte (1195-1791) - Inventaire analytique, Limoges, (lire en ligne), p. 11 (39 H 4)Reconnaissance des habitants du Burgt (Rempnat) et de Villetelle en 1727. L'auteur indique La Villetelle, commune de Bujaleuf, ce qui a été le cas jusqu'en 1869 mais ce lieux fait dorénavant partie de la commune de Cheissoux..
- « Les armoiries de la commune », sur blason-des-villes.e-monsite.com (consulté le ).
- « Les maires de la commune » (consulté le ).
- Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Mérimée : église avec croix de parvis », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Mérimée : Monument aux Morts », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
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