Adieu les cons
Adieu les cons est un film français réalisé par Albert Dupontel, sorti en 2020. Il raconte l'histoire d'une femme condamnée par une maladie incurable qui décide de retrouver le fils qu'elle a été forcée d'abandonner à la naissance alors qu'elle était encore mineure.

Réalisation | Albert Dupontel |
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Scénario | Albert Dupontel |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Manchester Films |
Pays de production |
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Genre | Comédie dramatique |
Durée | 87 minutes |
Sortie | 2020 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Nommé aux César, le film remporte sept récompenses, dont celles du meilleur film, de la meilleure réalisation et du meilleur scénario[1].
Synopsis
Suze Trappet est coiffeuse. Les produits cosmétiques qu'elle a utilisés durant des années lui ont donné une maladie auto-immune, dégénérative et incurable. Elle vient donc d'apprendre à 43 ans qu'il ne lui reste que peu de temps à vivre, quelques mois tout au plus.
Un souvenir la submerge alors qu'elle vide son salon.
Durant l'adolescence, elle devint amoureuse et tomba enceinte à quinze ans. Son amant partit de sa vie dès qu'il eut connaissance de sa future paternité. Les parents de Suze firent pression sur leur fille pour lui imposer un accouchement sous X et de signer un document d'abandon sans son consentement. Cette action très brutale est permise par la loi, car leur fille était mineure. Malgré ses dénégations répétées et sa volonté de garder l'enfant, Suze ne pu passer outre l'autorité parentale de ses géniteurs et eut à peine le temps de tenir son bébé dans ses bras quelques instants avant qu'il ne lui fût arraché. Elle n'a jamais pu réussir à le revoir depuis. Elle veut se mettre à la recherche de son fils, apprendre ce qu'il a pu devenir, pouvoir lui parler avant de mourir.
Elle apprend lorsqu'elle est au service d'administration que son dossier (qui a presque trente ans) n'a pas été numérisé. Avec la vitesse classique administrative, le retrouver prendra certainement plusieurs mois... C'est une échéance qu'elle n'a pourtant pas.
Dans le bureau d'à côté, Jean-Baptiste Cuchas s'apprête à se suicider dans son bureau personnel. Sur son ordinateur portable, il laisse à ce propos un message d'adieu filmé. Il est un informaticien de génie et il perd pied. La décision cynique de ses supérieurs hiérarchiques de confier la sécurisation du système informatique à des personnes des plus incapables lui est insupportable.
Il veut se tirer dessus avec un fusil de chasse. Il n'a pas scié préalablement le canon de l'arme, très long, ce qui l'empêche de le tenir face à lui à même le bras. Jean-Baptiste veut donc utiliser une sorte de poulie artisanale en employant une corde reliée à la détente. L'arme est posée face à lui sur sa chaise pivotante.
Lorsqu'il empoigne la corde, la mise à feu, puissante, fait se tordre la chaise. La déflagration n'atteint pas l'informaticien. Le coup dévie et atteint la paroi adjacente en placoplâtre. L'agent administratif qui se trouvait contre ce mur se retrouve gravement atteint. C'était la personne qui s'occupait du cas de Suze.
Réalisant ce qu'il a fait, Jean-Baptiste panique et perd l'équilibre. Il a conservé sa corde dans son poing serré : un second coup part aussitôt. La chaise s'étant renversée, l'arme est à ce moment-là pointée vers le plafond. L'informaticien se retrouve assommé par les débris.
Suze ne s'enfuit pas des lieux à l'inverse du public autour d'elle. En regardant sur la porte du bureau, elle comprend que cet inconnu s'occupe des services informatiques. Ses capacités lui seraient utiles, songe-t'elle et elle n'a plus rien à perdre. Elle embarque l'ordinateur portable ayant servi à enregistrer la vidéo de la tentative de suicide et emmène le blessé avec elle en empruntant l’ascenseur. Il est toujours inconscient et elle le traîne au sol.
Il se réveille sur un rond-point, lieu où se situaient précédemment les locaux où Suze accoucha. Désormais recherché par la police et le ministère de l'Intérieur pour tentative de meurtre (et attaque terroriste, accessoirement), JB se voit proposer un marché par son accompagnatrice : elle lui rendra son ordinateur qui contient la preuve de l'accident s'il l'aide à retrouver son dossier. Il n'a pas attenté volontairement à la vie de l'agent administratif gravement blessé, il voulait seulement se suicider, donc il sera disculpé. Il lui explique que le dossier doit être conservé aux archives départementales de la préfecture, c'est le lieu de stockage classique de la paperasse. Il refuse de l'aider davantage.
Une fois arrivée aux archives, Suze est finalement rejointe par Jean-Baptiste qui est revenu sur sa décision. Mais ils doivent faire vite car les policiers sont aux trousses de l'informaticien. Ils parviennent à descendre aux sous-sols où ils apprennent qu'elles sont gérées par Serge Blin, un agent administratif devenu aveugle depuis que des policiers lui tirèrent dans les deux yeux au LBD durant une manifestation. Il est recasé dans les locaux depuis des années et s'y repère assez aisément. Le handicapé a cependant développé une peur panique de la police.
Grâce à ses compétences d'informaticien, Jean Baptiste arrive à débloquer les casiers de toutes les personnes du département ayant accouché sous X depuis une trentaine d'années et dont le patronyme commence par T. Les dossiers sont nombreux. C'est après plusieurs heures de recherche que Suze, M. Blin et JB tombent sur le bon. Le document date de 28 ans. Il ne s'y trouve que l'adresse des parents ayant recueilli l'enfant, rien d'autre, même pas leur patronyme ou le prénom donné au bébé. Il ne s'agit pas d'une action réglementaire dans le remplissage du dossier d’accouchement sous X, d'ailleurs. JB pense qu'il y a aussi un fort risque que la famille n'habite plus à l'adresse indiquée.
Malheureusement, les policiers sont dans le bâtiment des archives et parviennent à arrêter l'informaticien alors que Suze et M. Blin s'enfuient par un escalier de service. L'adresse indiquée sur le dossier n'est plus répertoriée sur les GPS, mais M. Blin parvient à guider Suze grâce à quelques souvenirs aux alentours encore exacts. Suze aperçoit un homme de l'âge de son enfant en arrivant sur les lieux. Elle se rend compte après un bref échange qu'il n'est pas le sien. Il n'est pas possible de savoir l'identité des anciens locataires des lieux, cependant.
Plus loin, le camion d'un fleuriste distrait entre en collision avec la voiture de Suze. Le fleuriste croit que M. Blin, le passager, conduisait malgré sa cécité. Il décide d'appeler la police. Horrifié à l'idée d'aller en prison, M. Blin se précipite sur la place chauffeur en se guidant avec le bruit du moteur, fait démarrer la voiture en trombe et a un autre accident quelques mètres plus loin avec la voiture de police qui transportait JB. Ce dernier s'extirpe de la voiture et promet à son supérieur de revenir avec un témoin pour l'innocenter.
L'informaticien retrouve Suze et lui suggère de contacter le médecin qui a pris en charge son accouchement 28 ans plus tôt, le Dr Lint. Une fois arrivés à l'hôpital où il est interné, ils se rendent compte que le docteur a développé la maladie d'Alzheimer. Suze lui raconte son histoire, rien n'apparaît sur le visage du docteur. Désespérée, Suze tombe sur une chaise et renverse accidentellement une planche sur la bibliothèque personnelle du médecin. Il y a des journaux intimes lui appartenant. L'écriture en est illisible, mais celui de l'année de l'accouchement de Suze pourrait contenir des informations sur la naissance de son enfant. Le trio se rend alors chez la femme du médecin. Elle les écoute sur le pas de la porte et accepte de les recevoir dans son salon quand elle voit le carnet dans les mains de Suze. Elle arrive à déchiffrer une partie des écrits.
Les personnes découvrent ainsi que son mari fut ulcéré par les circonstances de l'accouchement de Suze, surtout par le comportement brutal de ses parents et la grande détresse de la jeune mère. Il se fit la promesse de trouver pour le nourrisson une famille d'accueil de qualité, quitte pour cela à agir illégalement. Il utilisa ses relations pour parvenir à confier le bébé à une personne stérile en mal d'enfant, « Sans-Fallope ». Il décida d'inscrire le moins d’éléments possibles dans le document d'adoption pour la préserver ; puisque le cadre légal de l'adoption ne fut pas du tout réalisé dans les normes.
Alors que l'ex-coiffeuse est prise d'une crise d'asthme sanglante à même la moquette, l'informaticien comprend que son état est sérieux. Elle le reconnaît, décrit sa maladie qui explique son empressement à passer outre aux « délais administratifs ». Les trois témoins de sa souffrance éprouvent pour elle une grande pitié.
Tandis qu'ils se rendent dans une pharmacie pour chercher un nouvel inhalateur, le Dr Lint, après avoir relu une partie de ses journaux intimes, retrouve la mémoire de ce jour-là. Il s'échappe de l'hôpital et rejoint sa femme pour lui donner l'identité de la Sans-Fallope.
JB peut tout retracer grâce à son ordinateur, mais il doit pour cela le mettre à jour et il est de nouveau repéré par les policiers qui pistent son appareil. L'enfant de Suze a été appelé Adrien. Il a perdu ses parents adoptifs durant son adolescence puis a mené de brillantes études. Il est chef d'un réseau informatique dans une grande société cotée en bourse. Suze, Jean-Baptiste et M. Blin se rendent à l'adresse où habite Adrien. Submergée par l'émotion, Suze entrevoit enfin son fils, travaillant sur un ordinateur, mais refuse de lui parler. JB se rend compte que quelque chose ne va pas chez le jeune adulte : vu son statut social, il ne devrait pas avoir à vivre dans un quartier défavorisé.
Il tombe ensuite sur des poèmes jetés à la poubelle destinés à une certaine Clara, une collègue d'Adrien semble-t-il. Le trio décide donc de monter un plan pour amener Adrien à parler à cette Clara seul à seule.
Arrivés sur le lieu de travail d'Adrien, toujours accompagnés par M. Blin, JB accepte d'aider Suze. Le trio a peu de temps pour agir. L’informaticien sabote le système de sécurité de l'immeuble face à eux pour aligner les ascenseurs au treizième étage, éteindre les lumières et activer l'alarme incendie. Il contrôle ensuite l'ouverture des portes des ascenseurs pour forcer Adrien et Clara à se retrouver seuls dans le même ascenseur. Enfin JB confie l'ordinateur à la mère en lui demandant de se faire passer pour la technicienne de sécurité. Suze, émue, parvient à dire à Adrien qu'il ne faut pas avoir peur d'avouer son amour et que « je t'aime » sont les mots les plus importants à dire dans une vie.
M. Blin, motivé par les paroles de Suze, n'a désormais plus peur de la police et accepte de faire du zèle pour permettre à JB et Suze de s'échapper ailleurs. Il est très bruyant, s'exclame à tue-tête et fait un certain bazar sur une place publique, ce qui force une partie des policiers à devoir l'interpeller, non sans difficultés, le tout sous les nombreuses captures de vidéos des témoins de l'interpellation.
Sur un parking presque désert, au crépuscule, l'informaticien tente d'ouvrir une voiture avec son ordinateur. Les policiers remarquent le bruit de la portière ouverte et les retrouvent quand même. Suze, se sachant condamnée par sa maladie, ramasse une arme qu'un policier a fait tomber en essayant de maîtriser M. Blin. Elle s'interpose entre les policiers et JB pour le laisser partir. Mais, finalement, celui-ci lui demande s'il peut venir avec elle. Il lui avoue ses sentiments.
Le duo s'embrasse. Sans tirer, Suze braque calmement l'arme vers les policiers, ce qui condamne de facto le couple à un suicide par police interposée. Le film se termine sur les innombrables coups de feu qui mettent fin à leur vie.
Fiche technique
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Affiches du film, bandes-annonces et dossier Unifrance. |



- Titre : Adieu les cons
- Réalisation et scénario : Albert Dupontel
- Photographie : Alexis Kavyrchine
- Montage : Christophe Pinel
- Décors : Philippe Cord'homme
- Costumes : Mimi Lempicka
- Production : Catherine Bozorgan
- Sociétés de production : Manchester Films, Gaumont, France 2, Canal+
- Société de distribution : Gaumont
- Budget : 10,31 millions d'euros[réf. nécessaire]
- Pays de production :
France
- Langue originale : français
- Format : couleur — 2.39:1
- Genre : comédie dramatique
- Durée : 87 minutes
- Dates de sortie :
Distribution
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.
- Virginie Efira : Suze Trappet
- Albert Dupontel : Jean-Baptiste « JB » Cuchas
- Nicolas Marié : Serge Blin
- Jackie Berroyer : Dr Lint
- Philippe Uchan : M. Kurtzman
- Bastien Ughetto : Adrien
- Marilou Aussilloux : Clara
- Catherine Davenier : Mme Lint
- Michel Vuillermoz : le psy
- Laurent Stocker : M. Tuttle
- Kyan Khojandi : le médecin de Lint
- Grégoire Ludig : le préposé 1
- David Marsais : le préposé 2
- Bouli Lanners : le médecin de Suze
- Terry Gilliam : un chasseur d'une publicité
- Yves Pignot : le fleuriste
- Guillaume Berroyer : le médecin de Suze adolescente
- François Girard : un policier
Production
Albert Dupontel commence à travailler sur le film en 2013, après 9 mois ferme[3]. Il met cependant le projet de côté pour s'atteler à l'adaptation du roman de Pierre Lemaitre, Au revoir là-haut. Le tournage d'Adieu les cons a lieu durant l'été 2019 en région parisienne (Gonesse, Paris, Meaux, Conflans-Sainte-Honorine...). Une majorité des scènes est filmée dans les studios de Bry-sur-Marne. Le film contient de nombreux effets spéciaux et nécessite huit mois de travail en postproduction.
Malgré la pandémie de Covid-19, la sortie du film est maintenue au [4]. En neuf jours d'exploitation, avec un couvre-feu, le film dépasse les 700 000 entrées. L'exploitation en est arrêtée avec la fermeture des salles de cinéma mais reprend le [5]. C'est le troisième film d'Albert Dupontel à dépasser les 2 millions d'entrées au cinéma.
Le film est dédié à Terry Jones, ancien membre des Monty Python mort en et qui avait joué dans les précédents films d'Albert Dupontel Le Créateur et Enfermés dehors.
Plusieurs éléments sont inspirés de l'univers du film Brazil, notamment le personnage de Monsieur Blin et les noms Kurtzman, Tuttle et Docteur Lint. De plus le réalisateur du film, Terry Gilliam, y apparaît dans le personnage d'un chasseur[6] dans une publicité.
Accueil
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En France, le site Allociné propose une note moyenne de 3,7⁄5 en s'appuyant sur 41 titres de presse[8].
Selon Christophe Caron du journal La Voix du Nord, « Dupontel joue à fond la corde de l’émotion (parfois à l’excès, petit bémol). Mais il garde intacte son appétence pour le rythme effréné et la trouvaille visuelle. Et quel plaisir de passer en revue toute sa famille artistique[9] ».
Pour Olivier De Bruyn du quotidien Les Échos, « Albert Dupontel se surpasse et signe un film à la fois délirant et émouvant, qui raconte avec un humour ravageur le monde d'aujourd'hui et ses aberrations[10] ».
D'autres critiques sont bien plus réservés lors de la sortie du film. Pour Marilou Duponchel, des Inrockuptibles, « la grandiloquence kitsch de la mise en scène de Dupontel (interminables mouvements de caméra, couleurs criardes, humour grimaçant et caméo de Terry Gilliam comme référence affichée) opère à plein régime pour sursignifier, en même temps qu’elle ensevelit, les faits et gestes des héros·oïnes de ce conte moderne gonflé d’effets numériques disgracieux[11] ». Didier Péron, dans Libération, estime qu'il s'agit d'« un genre d'After Hours rabougri », qui « se révèle même assez doux, et mièvre, quand sa course-poursuite se teinte d'un sentimentalisme à l'eau de rose sur fond d'amour filial ou d'amour tout court »[12].
À la suite du succès du film qui remporte sept récompenses lors de la cérémonie des Césars, Philippe Ridet, du journal Le Monde, déclare : « C'est peut-être trop d'honneurs pour cette fable anarcho-poétique [...] sorte de porte claquée au nez de la bien-pensance, des institutions au premier rang desquelles figure la police, cible facile mais dans l'air du temps[1] ».
Accueil du public
Le public accueille très favorablement le film d'un point de vue critique, avec une moyenne de 4,1⁄5 sur le site Allociné et une moyenne de 7,1⁄10 sur SensCritique.
Au niveau du box-office, le film sort le dans plus de 620 salles en France. C'est une période particulière pour le cinéma : du fait de la pandémie de Covid-19, il est à cette période soumis à un régime de couvre-feu, obligeant les établissements à fermer leurs portes à 21 heures. Malgré ces conditions, Adieu les cons termine sa première semaine d'exploitation en première position du box-office avec plus de 600 000 spectateurs[13], avant-premières comprises, signant le meilleur démarrage pour un film réalisé par Albert Dupontel.
Du fait de la dégradation des conditions sanitaires, les cinémas doivent refermer leurs portes le à 21 heures pour une durée indéterminée. Après neuf jours d'exploitation, Adieu les cons totalise 719 000 entrées[14]. Le distributeur Gaumont assure que le film sera présent à la réouverture des salles. Le , après une longue période d'incertitudes liées à la pandémie, les cinémas sont autorisés à rouvrir.
À la réouverture, le film axe sa communication sur la réception critique et sur ses sept trophées remportés à la cérémonie des César. C'est dans plus de 800 salles qu'Adieu les cons reprend son exploitation. Après une semaine, le film se classe à nouveau en tête du box-office avec 513 000 entrées supplémentaires[15], lui permettant de franchir la barre du million d'entrées. Il atteint finalement les 2 millions d'entrées en France, c'est le troisième film à parvenir à ce score après la réouverture des cinémas avec Tenet et Kaamelott.
Pays ou région | Box-office | Date d'arrêt du box-office | Nombre de semaines |
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2 001 298 entrées[16] | [alpha 1] | 23 |
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15 843 504 $ | - | - |
Distinctions
Récompenses
Nominations
- Lumières 2021 :
- Césars 2021[17] :
- Magritte 2022 :
- Goyas 2022 :
- Meilleur film européen
Notes et références
Notes
- En raison de l'épidémie de Covid-19 et des mesures de confinement, les salles de cinéma sont fermées du 30 octobre 2020 au 19 mai 2021. L'exploitation du film, interrompue durant cette période, a repris la semaine du 19 mai 2021.
Références
- « « Adieu les cons » triomphe aux Césars 2021 », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Adieu les cons : les avant-premières », sur albertdupontel.com, (consulté le ).
- « Albert Dupontel présente 9 mois ferme », sur ouest-france.fr, quotidien, .
- « Interdit d'interdire / Culture : numéro 160, avec Albert Dupontel ».
- « Où voir Adieu les cons », sur albertdupontel.com, (consulté le ).
- « Albert Dupontel : « Je comprends mieux la vie lorsque je la vois sur un écran » », émission Le cinéma, c’est la vie en mieux du , écoutable en ligne sur le site de LCI.
- « Adieu Les Cons : Critique presse », allocine.fr.
- « Adieu les cons », sur Allociné (consulté le ).
- « « Adieu les cons » **** : Albert Dupontel, roi de la tragédie burlesque », sur LA VDN, (consulté le ).
- « « Adieu les cons » : le retour gagnant d'Albert Dupontel », sur Les Echos, (consulté le ).
- « “Adieu les cons”, un Dupontel bien édulcoré », sur Les Inrockuptibles, .
- « « Adieu les cons », nanar laqué », sur Libération, .
- « "Adieu les cons" d'Albert Dupontel fait mouche au box-office », sur Franceinfo, (consulté le ).
- Par Catherine Balle Le 19 mai 2021 à 09h30, « Réouverture des cinémas : re-bonjour, «Adieu les cons» ! », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « Box-office France : Adieu les cons reprend la tête pour la réouverture des cinémas », sur EcranLarge.com (consulté le ).
- « Adieu les cons (2020) », sur CBO Box-Office.
- « Autour des Nominations 2021 », sur Académie des César (consulté le ).
Liens externes
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